Ma tribe | Ma vibe
Ma tribe
Je crois que j’ai fait une constatation…
Souvent dans ma vie, quand quelqu’un me fait faux bond, il m’arrive quelque chose d’extraordinaire. Je sais pas si tu as remarqué ça toi aussi?
J’ai 4-5 exemples comme ça, c’est assez frappant. La fois où l’on m’a annulé un rendez-vous galant, j’ai rencontré mon mari… La fois où j’ai eu la plus belle fin de semaine de camping, c’était quand la personne qui m’a invitée a décidé de pas venir.
Et évidemment mon histoire avec Tupperware commence de la même manière. Mon amie qui devait m’accueillir au studio/salle de montre a pogné un flatte et je me suis ramassée seule sur place.
On est toujours face a une prise de décision dans la vie: je saisis une opportunité ou je la laisse passer. Ce soir-là, je le savais pas mais l’opportunité que j’avais saisie allait changer mon histoire.
Non seulement je suis allée à cette soirée d’invités sans ma chum, mais séduite par la mission, j’ai décidé de joindre la compagnie.
Ce qu’il y a d’extraordinaire avec une business à son nom, il est possible d’accomplir ce à quoi l’on aspire.
J’ai toujours été une bonne élève, alors pendant pas mal tous mes premiers mois, je disais: OK qu’est-ce qu’il faut que je fasse? C’est quoi la prochaine étape?
J’ai vraiment utilisé le même leadership avec mon équipe Tupperware.
7 ans plus tard, je peux clairement dire que j’ai la meilleure communauté au monde, une équipe, une tribu à mon image. Une gang de travaillants, une gang de cœurs, une gang qui est a vraiment en tête notre mission Tupperware:
- Redonner le goût aux gens de cuisiner maison pour mettre la santé au coeur des familles
- Transmettre nos connaissances en organisation pour aider à moins gaspiller, devenir meilleures en gestion de leur temps pour profiter au quotidien de la vie.
Et avec toutes ces bonnes résolutions, ensemble nous allons changer le monde!
Ma vibe
À l’époque je travaillais en cinéma. Je faisais 65 heures par semaine durant l’été, et probablement quelque chose qui ressemble plus à zéro pendant l’hiver.
Comme je venais de m’acheter un condo toute seule à Montréal, j’ai vu tout de suite là, ma chance de combler ma saison morte.
Évidemment, le reste de l’histoire est facile à prévoir: j’y ai pris goût rapidement. Quand est arrivé le moment de prendre ma décision, rendu à l’été, j’ai décidé de faire les deux; toujours les mêmes heures, tout en bâtissant mon Tupperware en parallèle.
Avant la fin de mon contrat, j’ai quand même gradué directrice.
Ça été mon signe que j’étais à la bonne place, et à partir de ce jour là, j’ai juste décidé d’en faire une carrière.
L’été suivant, j’ai dit non à des films américains et depuis ce jour, je fais partie des bizarres qui ont décidé de faire le choix de travailler pour soi-même.
Dans le fond, toute ma vie, j’étais destinée à être une entrepreneure. J’ai découvert que lorsqu’on était très travaillant, c’est beaucoup mieux de travailler pour soi-même, parce que c’est directement proportionnel à sa paie.
On m’a dit: « Debbie, faut que tu te remettes à rêver! » Donc suite à plusieurs formations, je me suis mise à avoir une vision de ce que c’est être son propre patron, de ce que c’est avoir la possibilité de réaliser tous ses rêves et ses idées de grandeur. Et la seule aspiration qui m’est venue en tête: partir une communauté dans le bois et vivre en autarcie.
Évidemment, ça fait un peu sectaire, alors ce qui s’est le plus rapproché de cette idée, ça été de vendre le condo à Montréal, d’aller m’établir en campagne et d’essayer d’être le plus autosuffisant possible en élevant ma famille.
Alors je vais être honnête avec toi, depuis la COVID, et le fait que je travaille à la maison, j’ai vraiment l’impression de baigner directement dans ce qu’était ma vision de ma vie de rêve. J’ai maintenant le temps de prendre le temps.
Objectif maintenant: indépendance financière et travailler à devenir nomade digitale en sauvant la planète.
✌❤